Nouveautés

10 ans de partenariat entre le Prix de Lausanne et Harlequin !

20 03 2019

Le samedi 9 février, plusieurs milliers de spectateurs ont suivi la Finale du 47e Prix de Lausanne au Théâtre de Beaulieu (Lausanne-Suisse) et sur le web via le live-streaming. Parmi les 21 finalistes, 8 ont remporté une bourse qui leur offre la possibilité d’intégrer une des écoles ou compagnies partenaires du Prix de Lausanne. 

Parmi les 8 lauréats, figure Sumiyama Mio qui a remporté la Bourse attribuée par Harlequin Floors. Originaire du Japon, cette jeune danseuse de 18 ans, étudie à la Tanz Akademie Zürich. Lors de la finale, pour sa variation classique, elle a interprété le personnage de Gamsatti, dans la version très connue de La Bayadère de Marius Petitpa, sur une musique de Léon Minkus ;  et pour sa variation contemporaine, elle a présenté le solo du Lac des Cygnes de Richard Wherlock, sur une musique de Tchaïkovsksy.

« Parmi les valeurs du groupe Harlequin, figure le soutien aux jeunes talents. Cela fait 10 ans que nous sommes associés au Prix de Lausanne et plusieurs années que octroyons une bourse d’études à l’un des lauréats du Prix. » déclare Chantal Lagniau, General Manager de Harlequin Europe.  «Chaque année, nous sommes impressionnés de constater la maturité et l’excellence des jeunes candidats au Prix de Lausanne, dont les lauréats sont souvent promus à une belle carrière. »

Et des exemples de carrières réussies parmi les anciens lauréats du Prix, il y en a pléthore…  Valoriser ses propres talents est d’ailleurs  l’un des principes fondateurs du Prix de Lausanne. Chaque année, d’anciens lauréats du Prix de Lausanne passent effet de l’autre côté de la scène et font ainsi partie du Jury. Cette année, les anciens lauréats du Prix étaient dignement représentés puisque, comme le dit  Kathryn Bradney, Directrice artistique et exécutive du Prix de Lausanne, « le Président du jury de cette année, Carlos Acosta, a remporté la médaille d’or du Prix de Lausanne en 1990 et a ensuite eu la carrière extraordinaire de danseur international que l’on connaît. »

Et comme guest star cette année, le Prix accueillait Hannah O’Neill  qui a dansé la variation hongroise tirée de Raymonda, lors de l’intermède de la Finale. Le public a ainsi pu profiter d’une performance exceptionnelle pendant que le jury délibérait.  Hannah avait remporté le Prix de Lausanne en 2009.  La même année, elle entrait au Ballet de l’Opéra de Paris sous contrat saisonnier. Elle y est maintenant première danseuse et a été couronnée de plusieurs prix, dont la médaille d’argent au Concours international de Ballet Varna, le Prix du Cercle Carpeaux, le Prix de l’AROP ainsi que le Benois de la danse, avec son interprétation de Paquita de Pierre Lacotte.

Nul doute qu’Hannah aura pris plaisir à retrouver Elisabeth Platel, directrice de l’Ecole du Ballet de l’Opéra de Paris qui, cette année, a rejoint le Prix comme professeur de danse classique. Membre du Jury lors d’une édition précédente du Prix, elle nous dit : «  Pour moi, plus qu’un concours, le Prix de Lausanne représente une rencontre d’artistes, les professeurs et les directeurs étant des artistes confirmés, les candidats des artistes en herbe. Il s’agit surtout d’une découverte de nouveaux talents, une semaine d’échanges,  dans le respect de notre art avec l’espoir de voir éclore de futures longues carrières d’artistes. »

Et parce que le Prix de Lausanne veille également à la santé des jeunes candidats,  ils ont la chance d’évoluer sur un plancher de danse Harlequin Liberty, recouvert du tapis de danse Harlequin Studio. Parce que leur carrière sera longue, mieux vaut veiller à la santé de ces jeunes prodigues !

Sur la photo: Sumiyama Mio, lauréate de la Bourse d’étude Prix de Lausanne, attribuée par Harlequin Floors, est entourée de Dirk Rüter (Directeur de Harlequin Deutschland) et de Chantal Lagniau (directrice de Harlequin Europe). 

Crédit photo: Anne-Laure Lechat

;